Rosalie Lamorlière ou Lamorielle

Le Personnage Historique

Rosalie est inspirée par un personnage réel, une femme qui s'est occupée de la Reine durant ces derniers jours en prison. Le reste de sa destinée à été complètement remaniée par Ikeda. Un article Wikipedia lui est consacré : "Personnage oublié de l'Histoire de France, elle fut l'objet d'un travail de plusieurs années auquel se consacra l'auteur Ludovic Miserole pour son tout premier roman paru pour la première fois en 2010.
Elle est née le 19 mars 1768, à Breteuil fille du cordonnier François (1738-1812) et de sa femme Marguerite Charlotte Vaconsin (décédée le 7 février 1780 à Laucourt)[1], elle avait six frères et sœurs. Même si elle n'a jamais été mariée, elle avait une fille Marie-Rosalie Delamolliere.
À la suite des Massacres de Septembre, en 1792 elle est engagée par le couple Richard, responsables de la Conciergerie, jusqu'en 1799. On ne sait pas à quoi elle ressemblait exactement. Le peintre Tony Robert-Fleury (1837–1911) l'a représentée, a posteriori dans un tableau de 1906. 
Elle est décédée le 2 février 1848 à l'hospice des incurables rue de Sèvres, puis inhumée, dans une fosse commune, au cimetière du Montparnasse.
Au cimetière du Père-Lachaise (3e division), sur l'arrière de la sépulture Lacroix-Delamolliere, en hommage à sa mère, sa fille fait graver l'inscription suivante : « À la mémoire de ma mère, Rosalie Delamolliere, dernière personne placée 76 jours auprès de la Reine Marie-Antoinette dans sa captivité, pour le besoin de tout son service, dont elle s'acquitta avec douceur et respect. Priez pour elle. »
Elle est un des personnages du manga La Rose de Versailles, plus connu en France par la série d'animation Lady Oscar. Le personnage de Rosalie réapparait avec son époux Bernard de Châtelet et Alain de Soisson dans "Eikou no Napoleon – Eroica" de Riyoko Ikeda."

 

Dans le Manga

Elle apparaît très tôt dans le manga, comme dans la série, par petites touches et séquences. Rosalie Lamorlière est une jeune fille pauvre qui vit à Paris avec sa sœur Jeanne et sa mère. Douce et serviable, elle est tout le contraire de Jeanne plus caractérielle et rebelle. Elle reste auprès de sa mère malade et travaille durement pour pouvoir lui payer des médicaments et de quoi les nourrir toutes les deux. Malheureusement, la crise financière du pays est telle que personne ne veut l'embaucher. Désespérée, elle tente de vendre son corps. C'est ainsi qu'elle tombe sur Oscar qui, choquée et apitoyée par le sort de la jeune fille de seulement 12 ans, lui donne un peu d'argent et lui demande de ne plus jamais refaire cette erreur. Rosalie trouve finalement du travail chez Rose Bertin, la couturière de la reine mais pendant ce temps, sa mère est renversée par le carrosse de Mme de Polignac. Avant de mourir, Nicole Lamorielle révèle à Rosalie qu'elle n'est pas sa véritable fille. Rosalie est la fille d'une noble dame prénommée Martine Gabrielle, elle ne peut préciser son nom car elle rend son dernier souffle. En cherchant à venger sa mère, Rosalie arrive par erreur chez les Jarjayes où elle est recueillie. Ses rapports avec Oscar sont assez troubles, elle la voit comme un homme bien que sachant son secret, elle en tombe amoureuse alors que celle-ci la considère plutôt comme sa petite sœur. Grâce à Oscar, elle est invitée aux bals de la cour, où elle découvre que Mme de Polignac est sa véritable mère. Après la mort de Charlotte, la Comtesse tente de faire venir Rosalie chez elle mais la jeune fille refuse. Lors du procès de l'affaire du collier, apprennant que Jeanne est la fille de la femme qui à élevé Rosalie,  la Comtesse menace de tout révéler et de salir les Jarjayes. La jeune fille part vivre chez sa mère à contrecœur mais la Comtesse tente de la marier de force au Duc de Guiche qui devait se marier à Charlotte de Polignac. Rosalie fuit alors et se retrouves à Paris. Lors de l'épisode du Masque Noir il essayera de la kidnapper mais elle lui tirera dessus, blessé, elle s'occupera de lui chez les Jarjayes et leur idylle naîtra là bas. Elle quittera leur demeure pour aller vivre à Paris avec lui, il se marieront. Lors de l'emprisonnement de la Reine à la Conciergerie, elle se fait attacher à son service pour adoucir ses derniers jours. Avec Bernard, c'est un des rares personnages à être vivant à la fin de l'histoire.

 

Dans la Série

Globalement, le personnage de Rosalie est plus mature dans l'anime, dans le manga elle pleure beaucoup plus. Elle se laisse moins porter pas les évènements et prend baucoup plus sa vie en main dans la version animée. Dans le manga, Rosalie se nomme Lamorlière. Son destin diffère un peu de l'anime. Pour commencer,  dans l'anime Charlotte reste très hautaine et désagréable avec Rosalie, alors que leurs rapports changent dans le manga, elle fait un peu plus connaissance avec Charlotte lors d'une réception à la cour, et la petite lui fait des confidences comme à une sœur. Après la mort tragique de Charlotte, la fille officielle de Madame de Polignac, la Comtesse tente de revenir vers sa fille Rosalie. Par la douceur d'abord mais la jeune fille reste sourde à ses larmes. C'est alors qu'éclate l'affaire du collier et les intrigues de Jeanne de la Motte. Apprenant son lien avec la sombre Comtesse, la Polignac fait chanter Rosalie et menace de tout révêler à la Reine et de mettre ainsi Oscar dans l'embarras. Rosalie cède et part vivre chez les Polignacs. La Comtesse tente de la marier de force au Duc de Guise qui devait se marier à Charlotte de Polignac mais Rosalie fuit vers Paris ou elle considère que c'est sa véritable place. Elle vient en aide à Oscar, blessée par le masque noir et ​​​refuse de retourner chez les Jarjayes. Lorsqu'Oscar relâchera le Masque Noir, allias Bernard Châtelet, elle l'enverra en convalescence chez Rosalie, à Paris mais ce n'est pas montré. Nous la retrouverons plus tard dans les moments des Etats Généraux. 

Dans le film de Jacques Demy

Elle existe mais son histoire ne sert à rien, on ne comprend pas son utilité, c'est juste la sœur de Jeanne dont la Polignac à tué la mère. Aucun lien familial entre elles, aucun rapport d'amitié avec Oscar non plus. Ce personnage frise le ridicule. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Dans le film de 2025, Rosalie est réduite à un personnage sans nom présente lors de l'incident du petit Pierre et qui prend sa défense comme dans la série. Elle est peu présente, ils l'ont mise dans le film juste pour la mettre elle n'a aucune utilité ni rôle dans l'intrigue. Du pur fan service minimal. 

 

 

Bernard Châtelet / Le Masque Noir

Personnage purement fictif il est néanmoins inspiré du personnage historique de Camille Desmoulins.


Chez Ikeda son destin est similaire dans le manga comme dans la série. Il n'existe pas dans le film de Demy. Bernard Châtelet est un révolutionnaire de la première heure. Journaliste et avocat, il se battra toujours pour les plus faibles et les plus pauvres. Son cœur d'or lui fera venir en aide à Rosalie à la mort de la mère adoptive de cette dernière. Puis pour aider les plus pauvres de Paris, il vole aux riches pour donner aux pauvres, tel Robin des Bois.

Dans le Manga et la Série

Il apparaît dès la mort de la mère de Rosalie, que ce soit dans le Manga comme dans la série. Dans le manga il est précisé qu'il s'est occupé des frais d'inumation de la pauvre femme.  Le personnage réapparaît beaucoup plus tard dans l'histoire sous les traits du Masque Noir. Oscar est chargée de l'arrêter. Lors d'une course-poursuite, il blesse malencontreusement André à l'oeil. Dans le Manga il se réfugie chez les Jarjayes où il enlève Rosalie. Lors de son arrestation par Oscar, une bagarre se déclenche et Rosalie, ne l'ayant pas reconnu, lui tire dessus. Il est soigné par elle au château des Jarjayes. Oscar le cache et le protège quand elle apprend que Rosalie est amoureuse de lui. Ils partent et vont vivre à Paris. Dans la série Rosalie vit à Paris et il ne la rencontre pas chez les Jarjayes ou il est retenu "prisonnier" car blessé durant sa capture. Oscar le relâchera et l'enverra terminer sa convalescence chez Rosalie en qui elle a confiance. 
Lorsque les soldats d'Oscar sont emprisonnés, c'est lui qui motive le peuple pour manifester et ainsi obtenir la délivrance des 12 militaires.
Le 12 juillet 1789, il fait un discours qui conduira à la prise de la Bastille.

Dans le film de Ai Yoshimura

On ne garde ici que le personnage de journaliste et de révolutionnaire. Il apparaît lors de l'incident du petit Pierre et ensuite on le voit faire un discours le 12 juillet 1789. Ce discours a effectivement eu lieu dans la réalité et c'était par Camille Desmoulin : "Son premier grand discours a lieu devant la foule réunie dans les jardins du Palais-Royal devant le café de Foy le 12 juillet 1789 après la démission de Necker à Versailles, prise pour un renvoi à Paris. Debout sur une table de café, un pistolet dans chaque main, il harangue la foule : "M. Necker est renvoyé ; ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélémy des patriotes : ce soir, tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ-de-Mars pour nous égorger. Il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Après concertation avec l'assistance, il est convenu que la cocarde sera verte, couleur de l'espérance. Il est parfois dit que Desmoulins aurait cueilli une feuille de tilleul et qu'il l'aurait placée sur son chapeau. Cependant, dans le cinquième numéro de son journal politique Le Vieux Cordelier, Desmoulins écrit qu'on lui aurait apporté un ruban vert, qu'il mit effectivement à son chapeau, puis distribua à la foule. La cocarde verte sera bientôt remplacée par la cocarde tricolore[9]. À son appel, les Parisiens ne s'arment pas, mais organisent un cortège qui défile dans Paris et envahit les théâtres pour inviter les spectateurs à les rallier."
Source Wikipedia.
Le film est assez fidèle à l'Histoire pour le coup sauf que Bernard arbore un poignard et non deux pistolets. 

 

Le petit Pierre

Personnage très secondaire dans le Manga et la série, il est au centre d'une séquence importante du film de 2025. Petit garçon de l'entourage populaire de Rosalie il tente de voler la bourse du Duc de Guéméné dans le manga, devenu de Germain dans la série. Dans le Manga, Rosalie est témoin de la scène, dans la série Rosalie prend sa défense en expliquant qu'il n'a pas mangé depuis deux jours. Dans les deux versions le Duc lui tire dans le dos et le tue après avoir laissé entendre qu'il ne ferait rien. Dans le film Rosalie qui n'est pas nommée prend sa défense et repart avec le gamin après l'intervention d'Oscar. Le Duc ne tue pas l'enfant. 

 

 

Nicole Lamorlière / Lamorielle

Personnage fictif, bien que lointainement inspirée de la mère de Jeanne de Valois de Saint-Remy, Marie Jossel (déc. 1783) mariée à Jacques (1717-1762), soldat qui vivait d'expédients et de braconne, qui était un descendant d'Henri de Saint-Rémi (1558?-1621), bâtard royal d'Henri II, et de Nicole de Savigny (1535-1590). (Wikipedia bio de Jeanne de Valoi St Remy). 
Madame Lamorlière est une femme courageuse qui travaille comme lavandière ou lingère à Paris. Elle vit dans un logement un sous sol et y élève ses deux filles, Jeanne et Rosalie dans la pauvreté mais avec dignité. Autrefois au service du Duc de Saint Remy, elle avait été sa maîtresse et lui avait une fille illégitime Jeanne. On apprendra plus tard dans l'histoire qu'elle avait élévé Rosalie mais qu'elle n'était pas sa fille. Madame Lamorlière tombe gravement malade et si Rosalie fait de son mieux pour trouver un emploi et la soigner la pauvre femme épuisée sort un jour dans la rue pour mendier du pain et se fait renverser par le carosse de Madame de Polignac. C'est à ce moment qu'elle avoue à Rosalie ses origines, dans un dernier souffle. Elle est la fille d'une noble dame une certaine Martine-Gabrielle sans pouvoir dire son nom. Dans le manga comme dans la série on apprendra plus tard par madame de de Polignac que lorsque celle-ci avait 15 ans elle était tombée amoureuse du Duc de St Rémy et qu'elle avait eu une liaison avec lui. Elle avait alors découvert l'existence de madame Lamorlière et de sa fille. La servante l'avait aidée à cacher sa grossesse et avait receuilli l'enfant, une petite fille, Rosalie. 

 

Alain de Soisson / Delavigne

Dans le Manga

Bien que noble, Alain de Soisson fait partie des gardes françaises en tant que simple soldat, rétrogradé pour avoir défendu sa sœur Diane face à l'ancien commandant. Lorsqu'Oscar devient commandant des gardes françaises, Alain fait tout pour la faire démissionner, avant de reconnaître sa valeur en même temps que ses propres sentiments pour elle. Lorsqu'il perd tout goût à la vie après le suicide de sa sœur, c'est Oscar qui parvient à le convaincre de se reprendre. Il participe à l'assaut de la Bastille et y perd nombre de ses camarades mais il reste apparemment en vie à la fin de l'histoire, même si on ignore ce qu'il est devenu. Il réapparait dans une des nouvelles histoires et serait dans le Manga "Eikou no Napoleon – Eroica" de Riyoko Ikeda. 

Dans la Série

Personnage droit et attachant dans le manga, il restera le même dans la série ou il se nommera Alain Delavigne. Dans la série il ne tombe pas amoureux d'Oscar. C'est André qu'il rencontre en premier, lors d'une de ses errances de beuverie dans les tavernes. C'est à lui qu'André demande de le faire entrer dans les Gardes Françaises, pour qu'Oscar ne le sache pas. Alain commence par se méfier d'André car il sent bien que celui-ci lu ment sur ses origines. "Tu sens l'aristo" "Pire tu es leur ami" mais même en se méfiant de lui il reste son ami et le défend face aux autres soldat lorsqu'André se fait molester. Il a du mal à comprendre sa fidélité à Oscar. La temps passant, ses rapports avec le Colonel étant plus apaisés il protège André car il sait que celui-ci ne voit plus bien, sans rien dire à Oscar. 
Alain restera fidèle à André puis à Oscar jusqu'au bout. 
On le retrouve dans le dernier épisode, exilé en Normandie ou il cultive la terre. 

Dans le film de Jacques Demy

Alain n'existe pas, Oscar n'entre pas dans les Gardes Françaises

Dans le film de Ai Yoshimura

Le personnage reste proche de l'original mais moins develloppé. On y parle pas de ses sentiments avec oscar et il n'y a pas de lien pariculier avec André. Il est seul avec Oscar lors de la mort d'André aux Tuileries et est seul avec elle lorsqu'elle meurt à la Bastille. 

 

Diane de Soisson / Delavigne

Diane n'existe pas dans le film de Demy ni dans celui de 2025. Dans le manga comme dans l'anime c'est un personnage secondaire mais attachant et important pour montrer le cynisme de la noblesse qui privilégie l'argent avant tout. Diane est la petite sœur d'Alain. Jolie, modeste et travailleuse, elle vit avec sa mère dans une modeste logement. Un jour elle annonce ses fiançailles avec un aristocrate désargenté à son frère. Suite à une longue abscence d'Alain, Oscar et André décident de se rendre chez lui et le trouvent délirant auprès du cadavre de sa sœur. la pauvre Diane à été abandonnée par son fiançé à la veille de leur noces, il lui préférais une fille d'un riche bourgeois. La jeune fille désespérée s'était pendue. 
Suite à cette visite il retrouvera la raison et reviendra à la caserne quelques temps plus tard. Dans le Manga il offrira une mèche des cheveux de Diane à Oscar en lui disant qu'elle admirait tellement ses cheveux blonds. 

 

 

Maximilien de Robespierre

Le Personnage Historique

Maximilien de Robespierre, ou Maximilien Robespierre[1], est un avocat et homme politique français né le 6 mai 1758 à Arras (Artois, aujourd'hui Pas-de-Calais) et mort guillotiné le 28 juillet 1794 à Paris, place de la Révolution (actuelle place de la Concorde). Il est l'une des principales figures de la Révolution française et demeure l'un des personnages les plus controversés de cette période. 
Maximilien de Robespierre est l'aîné d'une fratrie de cinq enfants. Il perd sa mère à l'âge de six ans. Son père abandonne le foyer et dès lors, Maximilien est pris en charge par son grand-père maternel. Après d'excellentes études au collège d'Arras et au collège Louis-le-Grand de Paris, licencié en droit, il devient avocat et s'inscrit en 1781 au Conseil provincial d'Artois, occupant même un temps la charge de juge au tribunal épiscopal. 

Élu député du tiers état aux États généraux de 1789, il devient bientôt l'une des principales figures des « démocrates » à l'Assemblée nationale constituante, défendant l'abolition de la peine de mort (quand on voit la terreur c'est ironique) et de l'esclavage, le droit de vote des gens de couleur, des juifs ou des comédiens, ainsi que le suffrage universel (masculin) et l'égalité des droits contre le suffrage censitaire. Son intransigeance, notamment après l’adoption de la Constitution de 1791 et son refus de siéger dans la Législative, lui valut bientôt le surnom de « l’Incorruptible ». Membre du club des Jacobins dès ses origines, il en devient progressivement l'une des figures de proue. 
Robespierre est sans doute le personnage le plus controversé de la Révolution française. Ses détracteurs (les thermidoriens, les fondateurs de la IIIe République et les historiens de l'« école libérale » dont le chef de file fut François Furet) soulignent son rôle dans l'instauration de la Terreur et la nature autoritaire du Comité de salut public. Pour d'autres, Robespierre tenta de limiter les excès de la Terreur, et fut avant tout un défenseur de la paix, de la démocratie directe et de la justice sociale, un porte-parole des pauvres, et l'un des acteurs de la première abolition de l'esclavage en France.

 

Dans le Manga

 

Dans la Série

Robespierre apparait dès le couronnement de Louis XVI, car il y a donné un discours. Il rencontre Oscar lors du voyage de celle-ci à Arras. Il apparît de nouveau plus tard lors du procès de Jeanne de Valois. C'est à la toute fin de la série que le personnage prend toute son ampleur avec les Etats Généraux et la révolution. 

Dans le film de Jacques Demy

Il n'existe pas. 

Dans le film de Ai Yoshimura

On l'apperçoit au jeu de paume lors d'une séquence musicale. 

 

 

Louis Antoine Léon de Saint-Just

Le Personnage Historique

Louis Antoine Léon de Saint-Just, parfois surnommé l'Archange de la Terreur, né le 25 août 1767 à Decize (Nivernais, aujourd'hui Nièvre) et mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, place de la Révolution (actuelle place de la Concorde), est un homme politique français de la Révolution française. Plus jeune élu à la Convention nationale, Saint-Just est membre du groupe des Montagnards. Soutien indéfectible de Robespierre, il est emporté dans sa chute, le 9 thermidor.
Dans un contexte où la Révolution vient d’abolir la monarchie et où le sort de Louis XVI divise les députés, Saint-Just prend une position ferme : le roi déchu ne doit pas être jugé comme un citoyen ordinaire, mais considéré comme déjà coupable du simple fait d’avoir trahi la nation.
ll est notamment l'inspirateur de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793, de la Constitution de l'an I[1]et l'auteur d'un ouvrage parlant des principes de la Révolution française. La légende noire touchant à ce personnage, et aux robespierristes de manière générale, s'est maintenue dans la recherche historique jusqu'à la seconde moitié du XXe siècle, violente.

Dans le Manga

Il apparaît chez Bernard Châtelet qui le cache car il a écrit un roman érotique. Il le présente comme Louis Antoine Florelle de St Just. Présenté comme un jeuen homme beau, androgine et insolent par ses écrits. 

Dans la Série

St Just est un personnage plus sombre, il opère masqué et assassine des personnalité au gré du chaos qu'il veut créer. Il apparaît comme un révolutionnaire qui veut changer le monde par la violence. 

 

Dans le film de Jacques Demy et dans le film de Ai Yoshimura

Il n'existe pas. 

 

Jeanne de la Motte

Le Personnage Historique

Jeanne de Valois-Saint-Rémy née le 22 juillet 1756 à Fontette et morte le 23 août 1791 à Londres est la descendante directe d'un fils du roi Henri II, issue de sa maîtresse, et également connue sous le nom de comtesse de La Motte par son mariage avec Nicolas de La Motte et sous celui de comtesse de La Motte-Valois par usurpation de titulature nobiliaire. Elle se rend célèbre pour son rôle dans l'escroquerie dite de l'affaire du collier de la Reine.
Son père Jacques (1717-1762), soldat qui vivait d'expédients et de braconne, était un descendant d'Henri de Saint-Rémi (1558?-1621), bâtard royal d'Henri II, et de Nicole de Savigny (1535-1590), dame de Fontette. Sa mère, Marie Jossel (déc. 1783), se prostituait à l'occasion. Jeanne avait un frère, Jacques (1751-1785) et une sœur Marie-Anne (1757-1786). Selon les mémoires du comte Beugnot, les trois enfants auraient été tirés de leur situation par son père et l'abbé de Langres.
Selon la source dont Alexandre Dumas s'inspire pour Le Collier de la reine, c'est à Boulogne — où la famille avait déménagé — que Jeanne et sa sœur auraient été remarquées par un abbé qui intéressa à leur sort l'une de ses paroissiennes, la marquise de Boulainvilliers.
En tout état de cause, la généalogie de la famille fut vérifiée et les enfants bénéficièrent grâce à Madame de Boulainvilliers de dispositions mises en place pour porter assistance aux rejetons des familles nobles mais pauvres.
En 1780, Jeanne épousa Nicolas de La Motte (1755-1831), neveu de Monsieur de Surmont, membre d'une famille de la petite noblesse[1] champenoise peu fortunée, et de surcroît officier de gendarmerie. Les deux époux prirent les titres de courtoisie de comte et comtesse de La Motte-Valois.
Son mari s'avérant très vite incapable de subvenir aux besoins du couple, la comtesse eut l'idée de s'appuyer sur son ascendance pour obtenir des avantages financiers. Fréquentant le château de Versailles où chacun, pourvu qu'il fût habillé décemment, pouvait pénétrer, elle essaya à maintes reprises de se faire présenter à la reine Marie-Antoinette. Celle-ci, prévenue de sa réputation douteuse, n'aurait jamais accepté.
Le mariage entre Jeanne et son mari fut un échec mais ils continuèrent à vivre ensemble. Jeanne prit un amant, Louis Marc Antoine Rétaux de Villette, un gigolo. Vers 1783, la protectrice de Jeanne, Madame de Boulainvilliers, la fit entrer en contact avec l'évêque de Strasbourg, le cardinal de Rohan, dont elle devint la maîtresse[2]. Elle avait fait courir le bruit qu'elle avait les faveurs de la reine et réussit à redonner espoir au cardinal qui faisait depuis longtemps en vain le siège de Marie-Antoinette pour obtenir un ministère. Or la reine le tenait en piètre estime et l'évitait.
À la même période, le bijoutier Charles Boehmer essayait de vendre au roi un magnifique collier de diamants qui avait été à l'origine fabriqué pour Madame du Barry, dans lequel il avait investi beaucoup d'argent, risquant la faillite s'il ne trouvait pas preneur. Après plusieurs démarches infructueuses, il en était arrivé à la conclusion que seul le roi de France serait en mesure de verser la somme qu'il demandait. Mais Louis XVI, conscient de l'aspect déraisonnable de cet achat à une période où les caisses de l'État étaient vides, avait refusé.

La comtesse, avec l'aide de son mari et de son amant, saisit cette occasion pour obtenir de l'argent. Rétaux de Villette, maître-faussaire, écrivit des lettres signées de la reine, prétendant qu'elle désirait le collier, mais savait que le roi jugeait l'achat déraisonnable. Elle demandait donc au cardinal d'avancer la somme nécessaire contre la satisfaction de ses demandes. Jeanne de La Motte était désignée comme intermédiaire. Le bijoutier aussi fut contacté et il lui fut demandé de remettre le collier à Jeanne pour la reine. Un rendez-vous nocturne fut arrangé où le cardinal fut présenté à un sosie de Marie-Antoinette — une prostituée nommée Nicole Leguay ou le Guay d'Oliva — et apprit qu'il était de nouveau en faveur.
Le collier entre ses mains, le comte de La Motte se dépêcha de vendre les diamants à Paris et à Londres. L'affaire ne fut révélée qu'au moment de l'arrestation du cardinal. La comtesse de La Motte, Rétaux de Villette, Nicole Leguay et Joseph Balsamo dit Cagliostro (un mage auto-proclamé qui avait aidé la comtesse en persuadant le cardinal d'acheter le collier) furent tous arrêtés. Le comte de La Motte s'enfuit à Londres.

Le roi et la reine souhaitèrent un procès public. Loin de laver l'honneur de la reine, le procès entacha sa réputation et le public la vit dans le rôle de la coupable. Le cardinal fut jugé non coupable et acquitté, tout comme Nicole Leguay. Le roi Louis XVI l'envoya très vite en exil. Rétaux de Villette fut déclaré coupable de faux et exilé, ainsi que le comte Cagliostro. La comtesse fut déclarée coupable et condamnée à être fustigée, marquée au fer rouge d'un V qui veut dire Voleuse, cependant, lors de la flétrissure, la comtesse fut tellement échevelée que son bourreau lui appliqua le fer sur la poitrine au lieu de l'épaule, provoquant ainsi la compassion du public. Elle fut condamnée à être enfermée à perpétuité à la maison de correction de La Salpêtrière.

Elle s'enfuit en juin 1787 et partit à Londres, où elle publia ses mémoires, racontant ses fausses relations intimes avec la reine. L'affaire du collier de la reine fut un des nombreux scandales qui affaiblit sérieusement la monarchie française.
La comtesse décéda à Londres en 1791 (certains historiens prétendent qu'elle survécut jusqu'en 1844[3]) après s'être défenestrée de la chambre de son hôtel. Certaines personnes croient qu'elle fut assassinée par des royalistes mais elle tentait probablement d'échapper à des créanciers.

 

Dans le Manga

Depuis toujours elle sait de par sa mère que son père était le dernier descendant des Valois, Jeanne a toujours rêvé de quitter la misère dans laquelle elle vit. Tout d'abord, elle espérait pouvoir tirer de l'argent à une noble dame qui passait en carrosse. Mais lorsque la marquise de Boulainvilliers qui connaissait très bien les Valois la recueille, Jeanne abandonne sa mère et sa sœur Rosalie pour vivre parmi les nobles et apprendre à devenir une dame. En 3 ans, elle apprend tout ce qu'une jeune femme de noble naissance doit savoir. Reconnaissant sa sœur qui vient un soir lui demander un peu d'argent, elle prend peur et n'hésite pas à blesser la pauvre Rosalie afin de l'empêcher de s'approcher à nouveau d'elle. Elle craint en effet que quelqu'un n'apprenne son passé. Ambitieuse, elle veut être admise à Versailles mais la bonne Marquise de Boulainvilliers n'a pas un rang assez élevé pour avoir accès au palais. Elle se résout à se débarrasser de la brave femme. À la demande de Jeanne, Nicolas de la Motte,un jeune homme fort épris d'elle, assassine la marquise de Boulainvilliers en mettant le feu. Avec l'aide d'un escroc, elle façonne un faux testament qui lui lègue les biens de la marquise. À l'enterrement elle rencontre le cardinal de Rohan, un vieil ami de la marquise. Ce malheureux homme facilement manipulable deviendra un pantin entre les mains de cette jeune femme diabolique. Elle parvient à lui faire croire qu'elle est noble et le brave cardinal lui permet de devenir la comtesse Jeanne de Valois de la Motte. Marié avec elle, Nicolas devient capitaine de la garde royale et se retrouve sous le commandement d'Oscar. Désirant toujours plus de pouvoir et d'argent, elle fait croire au cardinal qu'elle est une amie de la reine Marie-Antoinette. Éperdument amoureux de la jeune reine, le cardinal confie des sommes colossales à Jeanne qui va s'enrichir sans que ce dernier ne se méfie. Afin d'empocher une fortune, elle détourne un magnifique collier de diamants en faisant croire que la reine l'a acheté et va le payer, mais « l'affaire du collier » est découverte et Jeanne est emprisonnée. Évadée de sa prison, elle est retrouvée grâce à une lettre qu'elle a écrite à Rosalie, et meurt dans l'incendie de sa maison alors qu'Oscar s'apprêtait à l'arrêter.

Dans la Série

Le personnage est un peu plus dévelloppé que dans le manga. 

Dans le film de Jacques Demy

L'affaire du collier est présente mais c'est assez succint et ridicule comme le reste. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Elle n'existe pas. 

 

 

 

Nicolas de la Motte

Le Personnage Historique

Marc-Antoine Nicolas de La Motte (Bar-sur-Aube, 29 juillet 1755 - Paris, 6 novembre 1831) est un aventurier et escroc français du XVIIIe siècle connu pour son implication dans l'affaire du collier de la reine. 
Membre d'une famille de la petite noblesse champenoise peu fortunée, il est officier de gendarmerie lorsqu'il épouse Jeanne de Valois-Saint-Rémy, le 6 juin 1780. Les deux époux prennent les titres de courtoisie de comte et comtesse de La Motte-Valois. Il obtient la charge de garde du corps du comte d'Artois, frère du roi Louis XVI, grâce au cardinal de Rohan, l'amant de sa femme. Il prend part à l'affaire du collier de la Reine : une fois les diamants dessertis, il part vendre les plus beaux d'entre eux à deux bijoutiers anglais de Londres.

Il est jugé par contumace par le parlement de Paris et condamné aux galères à perpétuité. Son complice, Marc Rétaux de Villette, témoignera contre lui et sa femme à son procès. Nicolas de La Motte bénéficiant du droit d'asile dans la capitale anglaise ne regagne Paris qu'après la Révolution Française et vit de sommes d'argent extorquées à la famille de Rohan sous la menace de publier ses mémoires, compromettantes pour la réputation du cardinal.

 

Dans le Manga comme dans la Série

C'est un personnage secondaire assez peu travaillé, personnage naïf, peu intelligent il est constament dans l'ombre de Jeanne qu'il rencontre lorsqu'elle vit chez la Marquise, il étrangle la bonne Dame durant l'incendie. Il prend néanmoins un peu d'humanité à la fin de la série lorsqu'il meurs dans les bras de Jeanne. 

Dans le film de Jacques Demy

Assez peu intéressant et transparent. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Il n'existe pas. 

 

 

Madame la Marquise de Boulainvilliers

Le Personnage Historique

Difficile de trouver des informations sur la Marquise qui dans la réalité finança l'éducation de la fratrie de Jeanne de Valois St Remy. Suzanne Marie Henriette de Boulainvilliers, la dame du Portrait que j'ai sélectionné, est née en 1696 et morte en 1776 ce qui peut correspondre.Cette page sur Généanet semble bien indiquer que c'est bien elle la bienfaitrice des enfants  

En 1719, Suzanne-Marie-Henriette de Boulainvilliers épousa à l’âge de 23 ans Gabriel Bernard, comte de Rieux, fils du célèbre banquier Samuel Bernard, et futur président de la chambre des enquêtes au Parlement de Paris. Présenté au Salon de 1742, le portrait du musée Cognacq-Jay figure donc Mme de Rieux vers quarante-cinq ans, en costume de bal. La présidente porte un manteau recouvrant sa robe et s’apprête à masquer son visage grâce au loup qu’elle tient à la main. Ici, La Tour excelle à reproduire le moiré du tissu du manteau et le plissé des rubans bleus. La taille inhabituelle de ce portrait témoigne aussi de l’habileté du pastelliste à dépasser le type conventionnel du portrait en buste sur fond uni : la présidente est représentée assise dans un décor évoquant le cadre élégant d’un hôtel particulier.
La Tour exécuta également le portrait du président de Rieux exposé au Salon de 1741, et conservé au musée J. Paul Getty à Los Angeles. Ces deux portraits, qui ne forment pas pendants, sont restés dans la famille des modèles jusqu’en 1920, ce qui leur a permis de conserver leur cadre d’origine en bois doré.

Suzanne de Boulainvilliers (ou Boulainviller) est née en 1696, fille de l'historien désargenté Henri de Boulainvilliers, veuf avec quatre enfants. Elle a épousé en 1719 (soit à 24 ans) Gabriel Bernard (né en 1687), comte de Rieux, seigneur de Passy, deuxième fils du célèbre financier Samuel Bernard. Conseiller au parlement de Paris à 25 ans, puis en 1727 (jusqu'à sa mort) président de la chambre des enquêtes au même parlement. Le couple eut quatre enfants. Leur fils aîné devint prévôt de Paris et mourut en prison en 1793. La fille aînée se maria, avec le marquis de Mirepoix, lors d'une fête restée célèbre, à 11 ans !, jolie comme un ange dit-on, en 1733, et mourut en premières couches 3 ans plus tard...

Le couple, très cultivé et mondain, donnait au château seigneurial de Passy, ou en son hôtel de la rue Notre-Dame-des-Victoires, des concerts et des réceptions brillantes.
Elle fut la bienfaitrice des 3 enfants de VALOIS-de-SAINT-REMY, dont Jeanne (Affaire du collier de la Reine).

Dans le Manga comme dans la Série

C'est une dame de la noblesse qui a pris jeanne sous sont aile et a décidé de faire son éducation. Bonne et généreuse avec jeanne elle sera néanmoins assasinée par l'ambitieuse et son fiançé Nicolas. 

Dans le film de Jacques Demy

Elle existe mais n'est pas du tout exploitée. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Elle n'existe pas. 

 

Le Sosie de la Reine

Nicole Leguay ou le Guay d'Oliva de son vrai nom, prostituée dans le manga comme dans l'histoire vraie, pauvre aveugle dans la série cette femme du peuple apparait comme instrument des machinations de Jeanne de la Motte qui la fait passer pourla Reine devant le Cardinal de Rohan. 

 

 

L'Accordéoniste

Personnage qui n'existe que dans la série, l'accordéoniste porte la griffe d'Osamu Dezaki. Voix du peuple dans la seconde partie de la série, il ponctue les épisodes de ses litanies triste, enragées et poétiques. C'est un personnage secondaire dont on ne sait rien à part qu'il a un fils qui prendra sa suite à la fin de la série.
Le site "le monde de Lady Oscar" lui consacre un article très intéressant : "L'allégorie tragique d'un peuple qui représentait 20 millions de français - l'accordéoniste"

 

Ce personnage tout particulier est à l'origine même de la page des dialogues retrasncrits de ce site. Ce sont ses complaintes qui m'ont données envie de faire une page avec les dialogues que je préfère, je les ai tous recensés et ici cvou trouverez toutes ses apparitions. Borgne et boîteux, il est anonyme, on ne sait rien de lui ni son nom ni son histoire. A peine apprend on qu'il à un fils à l'épisode 39 car c'est lui qui reprend le flambeau après sa mort. Il est souvent montré de nuit au bord de la Seine, sous les ponts ou assis sur des escaliers. Je profite de cette section pour lui rendre un petit hommage, car ce personnage attachant bien que secondaire est devenu très important pour bien des gens ! Je lui ai consacré un tableau sur Pinterest

Il apparaît dès l'épisode 20, avec l'influence de Dezaki. Il est la voix du peuple et ponctue l'histoire de ses complaintes déclamées d'une voix douce, bien que parfois celà se finisse par un cri, sur fond d'une mélodie à l'accordéon. 

Il apparaît dans les épisodes 20, 24, 25, 29, 33, 36, 37 et 39.

Sa première apparition dans l'épisode 20 où il apparaît 2 fois, la première à 6mn11 et la seconde à 11mn50 !

  

  

  

Dans l'épisode 24 on le voit seulement c'est le narrateur qui parle.

  

 

Dans l'épisode 25 il croise André et Oscar qui accompagnent Fersen à Paris lors de son retour des Amériques. 

  

 

Dans l'épisode 29 il échange quelques mots avec André qui erre ivre dans les bas fond pour oublier Oscar et sa complainte parle d'amour. 

  
 

L'épisode 33 s'ouvre sur l'accordéoniste lors du pré-générique. On ne voit que ces mains et des images qui racontent la nuit passée. 

  

 

Episode 37, dans la foule en colère on entend d'abord sa voix avant de le voir. Il parle sans jouer de son instrument, emporté par la foule et aidé à la fin par un homme qui l'aide à marcher. 

  

  

 

L'épisode 39 est le dernier où il apparaît. Oscar erre dans les rue rongée par le chagrin suit à la mort d'André. Sous la pluie elle croise un jeune adolescent qui traîne sur ses épaules le corps d'un homme, l'accordéoniste. Le corps est lourd et l'enfant chute sous les yeux d'Oscar. Il soliloque dans la nuit et on apprend que c'est son père qui part jeter à la Seine selon ses derniers voeux. Il est mort le même jour qu'André. 

  

  

  

  

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