Extraits de dialogues de la série...
La déclaration d'André :
"Une rose reste une rose, que tu le veuilles ou non Oscar tu restera à jamais celle que j'ai le plus chérie. Pardonnes moi, pardonnes moi Oscar. Si tu savais tous les tourments que j'ai enduré pour toi, pour toi que j'aime et que je n'ai jamais cessé d'aimer depuis le premier jour où tu m'es apparue comme dans un éblouissement sans fin. Je t'aime Oscar, je t'aime..."
Les monologues de l'accordéoniste :
Les derniers mots de l'épisode 40 :
"Elle s'appelait Oscar, elle était jeune, elle était belle, elle vécu dans une époque injuste, pleine de fureur et de larmes. Elle fut comme un soleil qui illumina bien des vies. Son regard était doux, elle fit face seule au destin. Elle n'avait qu'une arme : son courage."
Les Adieux à Fersen...
Fersen et Oscar conversent paisiblement autour d'un verre de vin devant l'âtre.
Fersen : "Ce monde est étrange vous trouvez pas ? Ne passons nous pas notre vie à Versailles et pourtant ni vous, ni moi n'avons le temps de nous voir. Quelle ironie. Au moins vous rappellez vous de la dernière fois ou nous nous sommes rencontrés ?
Oscar : Non j'ai du oublier je crois..
- Bah peu importe vous avez l'air de vous porter à merveille Oscar. On m'a beaucoup vanté vos mérites. On m'a dit que vous avez misfin aux exploits du masque noir!
- Oh c'est beaucoup dire Fersen...Du reste je n'ai pas pu découvrir ceux quile soutenaient.- Que voulez vous, on ne peut pas toujours tout réussir dans la vie. Ne suis je pas le plus bel exemple qui soit ?
- Fersen nous n'avons parlé que de moi, et vous donnez moi de vos nouvelles .
- Il n'y a rien a dire .. Rien de triste rien d'heureux ne m'est arrivé. Ma vie n'est qu'un désert sans fin..
- Oui Je comprends...
- Ah si, lors d'un bal il ya un mois j'ai croisé le destin d'une mystérieuse jeune dame d'une rare beauté. Elle vous ressemblait d'ailleurs. On aurait dit qu'elle sortait d'un rêve ; personne ne la connaissait, et n'a pu me dire qui elle était. Elle avait un regard doux comme le reflet de la lune... Nous avons dansé lontemps, lontemps..."
Fersen Observait Oscar, elle baisait les yeux. Oscar posa son verre de vin sur la table, à ce moment, Fersen lui saisit le poignet !
"Il y a des choses qu'on ne peut éternellement masquer Oscar ! Le geste que vous avez reu je l'ai reconnu ! C'était vous Oscar, c'était vous !"
Oscar s'enfuit, Fersen la retrouve dans les jardins, pleurant contre la porte de l'écurie.
Fersen :"Ne m'en veuillez pas Oscar je vous jure que je n'ai jamais eu l'intention de vous froisser... Vous êtes ma seule amie...
Oscar : -Assez Fersen, je vous en conjure n'ajoutez pas un mot. J'ai tellement honte d'avoir eu de ses instants de faiblesse... Je n'ai pas le droit d'aimer. Je vous en prie n'insistez pas. Il est déja si difficile pour moi de taire mon amour. Si vous saviez quelle est mon agonie...à chaque instant je meurs un peu plus.
- Je vous comprend Oscar ce que vous ressentez j'en ai fait l'amère expérience ! Il n'y a pas de place en ce monde pour l'amour, non pas de place...
- Je savais bien qu'un jour mon coeur allait me trahir. Il ne faut plus que nous nous revoyons Fersen. Je vous en prie, partez
- Puissiez-vous n'oublier jamais que vous êtes et que vous resterez ma seule amie que j'ai eue sur cette terre de France. Comme je n'oublierais jamais ce que vous avez fait pour moi. Oscar du fond de mon coeur je vous chérie plus que tout...
- Oh Fersen jamais je ne vous oublierais..Adieu Monsieur...
-Au revoir Oscar, mon amie
La mort d'André...
"Mais pourquoi ces larmes, Oscar ?
Pourquoi ?
Vais-je mourir ?"
Silence...
"...Tu as raison, je ne peux pas mourir quand tout commence, ce serait trop bête alors que nous découvrons à peine notre Amour. Et que bientôt s'élévera une ère nouvelle. Oh, ce serait trop bête de mourir maintenant. Alors que j'ai perdu tant d'années à t'aimer en silence. Tu es enfin à Moi pour l'éternité ! Je ne vais pas mourir Oscar..."
La déclaration de Girodel
Episode 30 « Tu es la lumière je suis l’ombre »
Oscar quitte la Caserne, le Colonel de Girodel l’attend. C’est le crépuscule, il y a du vent.
« Puis-je vous escorter chez vous ? De grâce Oscar acceptez que je chemine à vos côtés. Vous ne pouvez savoir combien vous me manquez depuis que vous avez quitté la garde royale. Je crois que c’est à l’instant où vous m’avez remis votre épée que j’ai compris que j’étais à vous, que depuis toujours je vous aimais. Est-ce un tel crime de croire que l’amour est possible ?
Je vous aime Oscar, je vous aime. Oh Oscar, c’est comme si la tempête soufflait en moi et ne devait jamais cesser. Je vous aime tant que je voudrais être votre écuyer pour toujours vivre auprès de vous.
Oh Oscar si vous saviez dans quels tourments je vis vous seriez sans doute moins cruelle avec moi. Ah et vous me laissez parler Oscar et vous ne dites rien. Qu’ai-je donc fait pour mériter un tel traitement, je n’ai pourtant fait que suivre les inclinaisons de mon cœur, est-ce si terrible à vos yeux ? »
Oscar : « Vous me semblez renverser quelque peu les rôles Girodel. J’ose croire que c’est moi qui aurais le plus à me plaindre de votre conduite. »
Girodel : «Orhhh »
Oscar : « Pardonnez-moi, il faut que je rentre à présent. »