Extraits de dialogues de la série...

La série est ponctuée d'échanges, et de dialogues vraiment très forts. Voici les plus marquants pour devenir incollable sur la série !

L'accordéoniste

Ce personnage tout particulier est à l'origine même de cette page. Ce sont ses complaintes qui m'ont données envie de faire une page avec les dialogues que je préfère. Borgne et boîteux, il est anonyme, on ne sait rien de lui ni son nom ni son histoire. Sa bio dans la présentation des personnages vous répertorie toutes ses apparitions.

 

Episode 20

Ainsi va la vie des pauvres gueux
Il faudrait du pain pour calmer leur faim
Mais il ne suffit pas de le gagner, encore faut il en trouver
Le pain ne pousse pas comme les pommes au pommier,
Alors ils èrent comme des chiens affamés.

Ainsi va la vie des pauvres gueux. 
Jamais ils n'ont de pain, jamais ils n'ont le ventre plein
Ils ont beau se prendre par la main
Ils ne connaissent que la faim

C'est la cohorte des affamés
qui dans la cité n'ont pas droit de cité

Ainsi va la vie des pauvres gueux
Qui j'amis ne trouvent de pain
Pour un jour calmer leur faim. 

 

Episode 20

Ainsi va la vie des pauvres gueux
Affamés le ventre creux


Ils s'en vont la nuit comme des chiens errants
En cherchant quelque chose à se mette sous la dent.

Du pain ils n'en touvent point,
pauvres gueux serrez les poings.

Tendez donc la main
Sinon jamais vous ne mangerez à votre faim.

Ainsi va la vie des pauvres gueux
Oyez la complainte des affamés. 




 

Episode 25

Ainsi va la vie des pauvres gueux
Qui ont le ventre creux

Qui errent dans le noir, sans espoir
Qui errent dans les rues à moitié nu le soir

C’est la complainte des affamés
La cohorte des assoiffés
Ceux qui ont faim, de justice et de pain
C’est la plainte des va-nu-pieds
Qui n’ont que des os à manger

Ecoutez mes beaux Messieurs
La complainte des pauvres gueux

Qui s'en vont le ventre creux
Dans le noir sans espoir
Ecoutez la misère qui vous hurle sa colère !

Episode 29

André ivre erre la nuit dans les bas fond et rencontre l'Accordéoniste qui jour assis sur un mur au bord de la Seine. "Je peux vous offrir à boire l'ami d'accord ? 
- Merci je ne bois pas mais viens donc t'asseoir," et l'Accordéoniste se recule pour lui laisser une place à ses côtés sur le muret au bord de l'eau. "Merci je crois que j'en ai bien besoin" répond André, "Et encore si tu n'avais besoin que de celà, répond l'homme, mais je crois l'ami que ton coeur est bien en peine... Tu te sens perdu, celle que tu aimes t'as chassé ? André soupire. 

Oui l'amour est décidément un étrange sentiment
Qui vous étreint sans qu'on sache commment
Qui vous frappe en plein coeur quand on s'y attend le moins
Et que tu t'y sens le moins prêt.

Oui car c'est ça la dure loi de la vie,
Ques ceux qui s'aiment en savent pas forcément,
Que ceux qui s'aiment ne savent pas toujours en même temps. 

Oui l'amour est parfois triste comme une complainte,
Mais l'amour est ce qui donne du sel à la vie.
Crois moi l'ami, vaut mieux aimer sans retour
Que d'avoir le coeur sec comme une pierre,
Car aimer sans être aimé c'est déjà de l'amour,
Et celà prouve au moins que tu vis

Adieu l'ami, et souviens toi qu'après le jour vient la nuit
Et qu'après la nuit vient le jour ! 


Episode 33

Quel est ce noir dessein qui trouble la Seine ?

Que sont devenues les fleurs là bas sur la berge ?

Pourquoi faut-il pour un peu de pain que survienne tant de haine ?

Ecoutez le chant du fleuve sentez vous le vent qui se lève ? 

Voici venir l'orage menaçant qui tout emportetra !

Episode 37

Il est donc arrivé le temps de la colère ?

Ecoutez comme Paris bruit de mille rumeurs...
Regardez ce courant qui soudain emporte tout.

Il a suffit d'un signe, et dans les milliers de poitrines.

Raisonnent de nouveaux hymnes.
Oh seigneur voici enfin l'aube
D'un monde nouveau qui hurle de douleur !

 

 

Episode 39

Ici c'est l'enfant de l'accordeoniste, un jeune adolescent qui déclame la dernière complainte après avoir jeté le corps de son père mort dans l'eau de la seine sous les yeux d'Oscar qui erre de chagrin dans les rues la veille du 14 juillet. 

La Seine est toujours là, elle coule sans fin. Mon père aimait à dire "la Seine engloutit nos peines et nos chagrins"

La nuit est si Sombre
Elle semble interminable. 
Le soleil finira par se lever, 
La Seine continuera à couler,
Sous ses premiers rayons. 
Lorsque Paris s'éveillera,
La Seine continuera à couler das la lumière
Lorsqu'au petit matin
Les portes s'ouvriront sur un jour nouveau.


 

 

"C'est à moi son Seigneur et Maître"

Épisode 8

Oscar : "Sire attendez par pité !
C'est moi le seul coupable, Madame de Noailles, le Comte de Mercy, Monsieur de Fersen ont tout vu. 
André à peut être commis une imprudence mais il ne doit en aucune façon le payer de sa vie. 

André : Oscar ! 

Oscar : Je réclame pour lui le privilège attaché à mon nom. Vous ne pouvez le condamner comme un bandit de grand chemin. C'est à moi, son Seigneur et maître d'être seul juge de ses actes. Sur mon nom je répond de lui, s'il faut condamner quelqu'un Majesté que ce soit moi ! 
je vous en prie, prenez ma vie, elle vous appartient déjà."

 

 

"Le Roi est mort Vive le Roi"

Épisode 9 

Oscar : Le Roi est mort, Vive le Roi. Nous n'avons pas encore présenté nos derniers hommages au défunt que...

Girodelle : Et oui cette bande de courtisans qui ne pensent qu'à soigner leurs propres intérêts. L'égoïsme est un défaut universel. Un soleil se couche, un autre se lève et ce qui fleurit aujourd'hui va périr demain.
Tout n'est que vanités. 

 

 

Les Adieux à Fersen...

Épisode 28

Fersen et Oscar conversent paisiblement autour d'un verre de vin devant l'âtre.

Fersen : "Ce monde est étrange vous trouvez pas ? Ne passons nous pas notre vie à Versailles et pourtant ni vous, ni moi n'avons le temps de nous voir. Quelle ironie. Au moins vous rappellez vous de la dernière fois ou nous nous sommes rencontrés ?
Oscar : Non j'ai du oublier je crois..
- Bah peu importe vous avez l'air de vous porter à merveille Oscar. On m'a beaucoup vanté vos mérites. On m'a dit que vous avez misfin aux exploits du masque noir!
- Oh c'est beaucoup dire Fersen...Du reste je n'ai pas pu découvrir ceux quile soutenaient.- Que voulez vous, on ne peut pas toujours tout réussir dans la vie. Ne suis je pas le plus bel exemple qui soit ?
- Fersen nous n'avons parlé que de moi, et vous donnez moi de vos nouvelles .
- Il n'y a rien a dire .. Rien de triste rien d'heureux ne m'est arrivé. Ma vie n'est qu'un désert sans fin..
- Oui Je comprends...
- Ah si, lors d'un bal il ya un mois j'ai croisé le destin d'une mystérieuse jeune dame d'une rare beauté. Elle vous ressemblait d'ailleurs. On aurait dit qu'elle sortait d'un rêve ; personne ne la connaissait, et n'a pu me dire qui elle était. Elle avait un regard doux comme le reflet de la lune... Nous avons dansé lontemps, lontemps..."

Fersen Observait Oscar, elle baisait les yeux. Oscar posa son verre de vin sur la table, à ce moment, Fersen lui saisit le poignet !

"Il y a des choses qu'on ne peut éternellement masquer Oscar ! Le geste que vous avez reu je l'ai reconnu ! C'était vous Oscar, c'était vous !"

Oscar s'enfuit, Fersen la retrouve dans les jardins, pleurant contre la porte de l'écurie.

Fersen :"Ne m'en veuillez pas Oscar je vous jure que je n'ai jamais eu l'intention de vous froisser... Vous êtes ma seule amie...
Oscar : -Assez Fersen, je vous en conjure n'ajoutez pas un mot. J'ai tellement honte d'avoir eu de ses instants de faiblesse... Je n'ai pas le droit d'aimer. Je vous en prie n'insistez pas. Il est déja si difficile pour moi de taire mon amour. Si vous saviez quelle est mon agonie...à chaque instant je meurs un peu plus.
- Je vous comprend Oscar ce que vous ressentez j'en ai fait l'amère expérience ! Il n'y a pas de place en ce monde pour l'amour, non pas de place...
- Je savais bien qu'un jour mon coeur allait me trahir. Il ne faut plus que nous nous revoyons Fersen. Je vous en prie, partez
- Puissiez-vous n'oublier jamais que vous êtes et que vous resterez ma seule amie que j'ai eue sur cette terre de France. Comme je n'oublierais jamais ce que vous avez fait pour moi. Oscar du fond de mon coeur je vous chérie plus que tout...
- Oh Fersen jamais je ne vous oublierais..Adieu Monsieur...
 -Au revoir Oscar, mon amie

 

 

"On a voulu faire de moi un garçon"

Épisode 28

Oscar et André sont dans l'écurie, et regardent leurs noms gravés dans le bois au temps de leur enfance et se remémorent le passé. 

Oscar "As tu déjà songé à ce qui est arrivé depuis ? Tant d'années se sont enfuies. A l'époque, je m'en souviens, mon coeur était plus dur que de la pierre. On a voulu à toute force faire de moi un garçon. je croyais que ça m'aurait déshonnorée si j'avais manifesté le plus petit sentiment humain, et j'ai vécu toutes ces années comme dans un cauchemard.
André : Oh oscar...
Oscar : C'est étrange vois-tu, toute sa vie on court après des rêves impossibles, on essaie de croire qu'on est les seuls maîtres de son destin, et vient le moment où l'on s'aperçoit que l'on était qu'un jouet, un pantin privé à jamais de sa volonté, mais cette époque là est révolue André. Qu'importe si j'ai commis les pires folies. Un jour on a décidé pour moi de ma vie. On a voulu faire de moi un garçon, alors je serai le plus impitoyable d'entre eux, oui, le plus impitoyable de tous ! "

 

 

"Une rose reste une rose"

Épisode 28

André porte son chocolat du soir à oscar dans sa chambre et oscar souhaite lui parler.

Oscar : Poses ça là, merci. 

André : Bien, bonne nuit Oscar. 

Oscar : André, reste. Je voudrais te parler un moment. J'ai bien réfléchis, par faiblesse je n'ai laissé cette situation que trop durer, ma décision est prise. J'ignore quel va être mon avenir quand j'aurais quitté la Garde Royale mais je devrais désormais ne compter que sur moi seule. Je ne veux plus avoir à dépendre de quiconque. 
Je veux aussi que de ton côté tu puisses vivre comme tu l'entend. C'est tout. Bonne nuit André. 

André :  Oscar attend. Rouge ou blanche une rose reste une rose, tu as tord de croire qu'on puisse changer à sa guise le cours des choses. Il est encore temps pour toi de redevenir celle que tu as toujours été. 

Oscar : Comment ? De quel droit te permet tu de me donner des leçons ? Qu'essaie tu de faire ? De me désespérer ? Crois tu que celà ne me coûte rien ? Va tus répondre enfin, vas tu répondre André ?
Oscar le gifle. 
Tu entends, je ne te permet pas de douter de moi... il lui saisi les poignets... mais que t'arrives t'il ? Laisse moi ! 
Non, Nooon, Noooooon André laisse moi je t'en prie ! Le bruit d'une chemise qu'on déchire.... et maintenant André que comptes tu faire de moi ? Je t'en prie, va t'en André...

André : Une rose reste une rose, que tu le veuilles ou non Oscar tu restera à jamais celle que j'ai le plus chérie. Pardonnes moi, pardonnes moi Oscar mais si tu savais ce que j'ai enduré pour toi,  si tu savais Oscar. Toutes ces années passées auprès de toi sans jamais un espoir. Sans jamais la moindre lueur dans ma vie qui aurait pû me rapprocher de toi, de toi que j'aime, que je n'ai jamais cessé d'aimer depuis le premier jour où tu m'es apparue, comme dans un éblouissement sans fin.
Je t'aime Oscar, je t'aime..."

 

La déclaration de Girodelle

Épisode 30

 

Oscar quitte la Caserne, le Colonel de Girodel  l’attend. C’est le crépuscule, il y a du vent.

« Puis-je vous escorter chez vous ? De grâce Oscar acceptez que je chemine à vos côtés. Vous ne pouvez savoir combien vous me manquez depuis que vous avez quitté la garde royale. Je crois que c’est à l’instant où vous m’avez remis votre épée que j’ai compris  que j’étais à vous, que depuis toujours je vous aimais. Est-ce un tel crime de croire que l’amour est possible ? 
Je vous aime Oscar, je vous aime. Oh Oscar, c’est comme si la tempête soufflait en moi et ne devait jamais cesser. Je vous aime tant que je voudrais être votre écuyer pour toujours vivre auprès de vous.

Oh Oscar si vous saviez dans quels tourments je vis vous seriez sans doute moins cruelle avec moi. Ah et vous me laissez parler Oscar et vous ne dites rien.  Qu’ai-je donc fait pour mériter un tel traitement, je n’ai pourtant fait que suivre les inclinaisons de mon cœur, est-ce si terrible à vos yeux ? »

Oscar : «  Vous me semblez renverser quelque peu les rôles Girodel. J’ose croire que c’est moi qui aurais le plus à me plaindre de votre conduite. »

Girodel :  «Orhhh »

Oscar : « Pardonnez-moi, il faut que je rentre à présent. »

 

"Eh bien qu'attendez vous ?"

Épisode 34

Girodel : " Au nom de sa majesté le Roi je vous somme de quitter ces lieux. Sa Majesté ne saurait tolérer plus longtemps que l'on bafoue ses décisions. Il ne saurait y avoir d'assemblée commune aux trois ordres, et si ces messieurs du Tierspersistent dans leur attitude irréfléchie, je me verrai dans contraint d'employer la force afin d'appliquer les ordonnances du Roi. 
Une dernière fois Messieurs veuillez vous retirer je vous en conjure ! 
(A l'adresse de la Garde Royale) Pied à terre !

Monsieur le Marquis de Lafayette : Allons nous laisser ce perpettrer cette infamie sans réagir ? Messieurs nous devons rejoindre le Tiers ! 

Robespierre : Le Marquis de Lafayette ! 

Monsieur le Marquis de Lafayette : Je suis des vôtres Messieurs. Et maintenant chargez donc Monsieur, mais sachez que vous aurez notre mort sur la conscience, car nous ne saurions laisser malmener les élus de la Nation sans nous opposer à ce crime indigne d'un Roi ! 

Girodel : Monsieur de Lafayette, je vous prierai de bien vouloir vous écarter de ma route. Croyez que je n'hésiterai pas à faire feu. 
(A l'adresse de la Garde Royale) Messieurs, en position de tir ! 

Oscar : Non ne tirez pas, ne tirez pas attendez !

Girodel : Vous, Oscar ! 

Oscar : Girodel, aurez vous le courage de vous battre contre moi ? Et vous messieurs de la Garde Royale, êtes vous sûr de vouloir faire feu sur votre ancien Colonel ?
Et bien, qu'attendez vous ? Tirez donc messieurs, tirez sur ces hommes sans défense, mais il faudra aussi que vous tiriez sur moi !
Eh bien Messieurs ? J'attend !

Girodel : Vous avez gagné oscar, si on peut vraiment parler de victoire à ce propos. Nous n'irons pas pointer nos armes sur ces gens.
Et bien soit, attendons que ce soit eux qui nous massacrent. Comment pouvez vous croire qu'ils en resterons là ? Alors ue chaque jour le pouvoir Royal recule devant leurs nouvelles prétentions. Il est encore temps d'arrêter celà.
Bientôt il sera trop tard Oscar. Prenez garde mon amie, d'ici peu, c'est nous qui seront les cibles et ils n'auront aucune pitié !

Oscar : De grâce allez vous en !


Girodel : Tous à cheval."

 

"Ainsi vous persistez dans votre folie"

Épisode 35

Le Général : Veuillez vous asseoir ici Oscar. Ainsi vous n'avez pus vous empêcher de me trahir.

Oscar : Vous trahir ? En quoi vous ai-je trahis Père ?

Le Général : Vous osez le demander misérable ? Alors que vous avez trainé le nom des Jarjayes dans la fange !

Oscar : Je crois plutôt Monsieur avoir empêché qu'il soit associé à une terrible infâmie !

Le Général : Ainsi vous persistez dans votre folie. Fort bien. Vous m'y contraignez. Une dernière fois êtes vous prête à vous soumettre ? Allez vous reconnaître vos crimes et faire amende honorable auprès de sa Majesté ?

Oscar : je ne vois nulle part la raison qui pourrait me pousser à renier les principes dans lesquels vous m'avez élevée. J'ai fait mon devoir. Il faut savoir varier Monsieur selon les circonstances, car ce sont elles qui gouvernent les états. C'est le salut du peuple qui est la loi suprême, et quand un monarque abusé par ses proches se retourne contre ses sujets, mon honneur est de me battre contre lui. 

Le Général : Pauvre insensée. Ne voyez vous pas que c'est notre perte à tous que vous causez ? Et vous osez parler d'honneur quand vous souillez notre nom. Seul notre sang versé atténuera cette cruelle infâmie, car comment pourrais-je survivre à la honte d'avoir dû supprimer celle qui m'était le plus chère au monde !

Oscar : Oh, ainsi vous le feriez père ! Très bien, mais pourquois vous ? Vous que je chéris tant, pourquois ?

Le Général : Assez mon enfant que j'ai tant aimé, il ne faut pas que mes bras tremblent. Ma douleur est immense, la vie n'est que barbarie. 

André entre en trombe : Oh non, Oscar noooon !

Le Général : Lache moi miserable. Tu entends ?

André : Non plutôt mourir. Je vous défend de toucher à un cheveux d'Oscar. Vous entendez Général ? Je préfèrerais mourir ou vous faire périr !

Le Général : Tu veux la mort ? Tu l'auras !

André pointant un mousquet sur le Général : si vous bougez Général je fais feu. Vous n'entendrez plus parler d'elle, je vais aemmener oscar avec moi. 

Le Général : Comment ? Tu veux t'enfuir avec Oscar ? André ? 

André : Oui

Le Général : Alors toi aussi tu as décidé de me trahir, rien en me sera donc épargné ? Toi André, toi que j'ai toujours considéré comme faisant partie de notr famille, tu viens maintenant me poignarder ? 

André : je sais tout ce que je vous dois Monsieur. Nul plus que moi n'en est conscient, est-ce une raison pour céder à votre folie ? 

Le général : tait toi misérable, comment peux tu me traiter de fou après ce troublant aveu ? Je ne veux plus entendre un mot de ta bouche. 

André :  je parlerai pourtant Général. Il y a trop longtemps que mon coeur se tait, que mes lèvres ne peuvent hurler à la face du monde que j'aime Oscar ! 

Le Général : Assez, tais toi misérable ! Puisse un jour le ciel me pardonner... 

André Je suis prêt Monsieur à subir le châtiment que vous voulez nous infliger. Je vous demande seulement de commencer par moi, c'est là ma seule requête. De grâce, que je ne vois pas périr celle que j'aime. 

Oscar : oh André...

Le Général :  Soit, prie pour que le Seigneur t'accorde son pardon.

Un messager du Roi interompt le Général pour annoncer la grâce Royale d'Oscar.

Le Général : Grâce au ciel nous sommes sauvés. Vous avez entendu Oscar ? Vous pouvez remercier le ciel de vous avoir épargnée. J'espère que vous suarez pardonner la colère d'un père outragé. Pardonnez-moi Oscar. 

 

"J'ai un terrible aveu à vous faire"

Épisode 38

Le matin du 13 Juillet, Oscar à ses hommes : "  Messieurs en ces heures graves, j'ai un terrible aveu à vous faire. Je sais quels sentiments vous animent à l'égard des autres troupes de sa Majesté et je les comprend, mais j'ai reçu l'ordre ce matin même de me joindre avec vous aux régiments du Roi stationnés au Champ de Mars, et à celà je ne peux me résoudre. Je suis indigne Messieurs de vous commander. 

Le Lieutenant d'Allembert entre : Je vous en prie Colonel, ne vous interrompez pas. 

Oscar : Oui je suis indigne de vous commanderparce que je sais que jamais je ne vous dirais de tirer. Jamais je ne vous donnerai un ordre aussii contraire à mes idées et aux vôtres je le sais. 
J'ai trahis ce à quoi j'ai toujours cru, mais l'aveu que j'ai à vous faire est plus étonnant encore. Il est temps que vous le sachiez, cet habit que je porte n'est pas celui de ma condition. Les hasards de la vie ont fait Messieurs que vous êtes commandés par une femme. Oui, une femme qu'un étrange destinà placé à cent lieues de sa nature, dans un universoù tout lui était étranger et auquel j'ai dû me plier au delà de mes forces. 
J'ai longtemps cru qu'il en serait toujours ainsi malgré les bourrasques et les tempêtes et que jusqu'aà mon dernier soupir je me verrai obligée de jouer cette pesante comédie, hors je me trompais Messieurs. 
Ce que je prenais pour mon devoir le plus absolu n'était qu'une de ces illusions qui nous tenait à tous lieu de règles, mais voilà le beau rêve est fini, le Roi nous a abandonné et devant vous je remet mon destin entre les mains de celui que j'ai toujours aimé, André Grandier.

André : Oscar...

Oscar : André, c'est à toi maintenant de décider de mon destin. Quelque soit ta décision je te suivrai où tu voudra. 

Alain : Ahahahhah, eh bien les amis, pour une surprise s'en est une. J'en suis pas encore revenu. Dire qu'on était commandés par une femme et qu'on s'en est jamais douté ! Ceci dit, je ne voit pas quelle différence celà peu faire, vous êtes notre chef et il faut que vous le restiez. Nous avons plus que jamais besoin de vous. Oui !  Car le Peiûple de Paris à grand besoin lui aussi de notre appui Colonel. Notre choix est fait depuis longtemps, nous sommes du parti de la justiceet de la liberté, tout comme vous Colonel et votre devoir est de rester à votre poste. 

Oscar :  André ?

André : Il a raison Oscar, tu dois continuer à nous commander.

Les autres soldats : Acceptez Colonel, oui restez. 

Alain: Permettez-moi de vous serrer la main Colonel. En notre nom à tous je vous en prie, restez tous les deux avec nous. 

Oscar : Oui ! Lieutenant ?

Le Lieutenant d'Allembert : Oui Colonel ?

Oscar : Je vous laisse ibre de votre décision mais laissez moi vous dire combien j'aimerai que vous soyez des nôtres. 

Le Lieutenant d'Allembert : Merci mais c'est malheureusement impossible. 

Oscar : Je vous comprend Monsieur, et je ne vous en veux pas. Je suppose que vous allez maintenant rendre compte de notre rebellion à qui de droit ? 

Le Lieutenant d'Allembert : Oui car tel est mon devoir mon Colonel.

Protestations des hommes, Alain : Attendez ! Du calme laissez le parler il n'a pas terminé.

Le Lieutenant d'Allembert : En effet je voulais vous dire que je ne remettrais mon rapport que demain matin. J'espère que d'ici là vous aurez fait ce que vous devez. J'étais treès fier de servir sous vos ordres Colonel.

Oscar : Merci Monsieur, vous êtes un brave.

Alain :  Quel dommage qu'il demeure fidèle au parti de l'arbitraire. C'est vraiment un honnête homme. 
 

 

La mort d'André...

Épisode 39

"Mais pourquoi ces larmes, Oscar ? Pourquoi ? Vais-je mourir ?"

Silence...

"...Tu as raison, je ne peux pas mourir quand tout commence, ce serait trop bête alors que nous découvrons à peine notre Amour. Et que bientôt s'élévera une ère nouvelle. Oh, ce serait trop bête de mourir maintenant. Alors que j'ai perdu tant d'années à t'aimer en silence. Tu es enfin à Moi pour l'éternité ! Je ne vais pas mourir Oscar..."

 

"Elle s'appelait Oscar"

Épisode 40

 

"Elle s'appelait Oscar, elle était jeune, elle était belle, elle vécu dans une époque injuste, pleine de fureur et de larmes. Elle fut comme un soleil qui illumina bien des vies. Son regard était doux, elle fit face seule au destin. Elle n'avait qu'une arme : son courage."

 

 

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Commentaires

  • LAUREINE

    1 LAUREINE Le 29/05/2011

    ouah débat politique ou pas sur le forum ptdr
  • SENTENZA-PAT

    2 SENTENZA-PAT Le 16/12/2010

    IL Y A QQ TEMPS J'AI IMPROVISE CECI SUR LE FORUM lady oscar.xooit(où officie aussi LONA)après la défaite de RAYMOND(que dirait l'Accordéoniste à notre époque?):LE PEUPLE VIT DANS LA MISERE TANDIS QUE LES JOUEURS AU BORDEL S'EN VONT DILAPIDER LEURS SALAIRES...ET RESTE LE PROBLEME DU NAIN QUI NE FAIT QUE CE QUI LUI PLAÎT...MAIS AUJOURD'HUI PLUS DE GUILLOTINE ALORS LE PEUPLE FAIT GRISE MINE...ON A CRITIQUE JADIS LOUIS ET MARIE-ANTOINETTE MAIS LE NAIN,LUI,N'EST VRAIMENT PAS NET!!OSCAR,ANDRE...SI UN JOUR DU PARADIS,AVEC VOS AMIS,VOUS REVENEZ SOYEZ PRUDENT CAR C'EST ENCORE PIRE MAINTENANT...RETENEZ CE CONSEIL DE VOTRE AMI PATRICKO LE POETE IMPRO!!

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