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Marie-Antoinette d'Autriche

Le Personnage Historique

Dernière fille de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche et François 1er de Lorraine, Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine naquit le 2 Novembre 1755 et grandit au Palais de Schônbrunn, à Vienne. Son enfance est davantage montrée dans le manga, une jeunesse joyeuse et insousciante. Elle a  12 ans lorsqu'on décide de sceller la paix entre la France et l'Autriche par l'union de la jeune princesse avec le petit fils de Louis XV. Elle épouse donc le Dauphin de France Louis-Auguste à l'âge de 14 ans. Jolie, fraîche et charmante, elle charmenra tout d'abord la cour par sa jeunesse. Naïve et cédant facilement à l'ennui dans cette cour vieillissante, elle fini par tomber dans la spirale de la frivolité et de l'amusement. Elle fréquente les bals de l'Opéra où elle rencontre Axel de Fersen, une jeune aristocrate Suédois, dont elle tombe amoureuse. Par la suite, négligeant ses devoirs de reine, elle s'engouffre dans une spirale de dépenses faramineuses auxquelles l'encourage sa favorite, Mme de Polignac. Ce n'est qu'après l'affaire du collier qu'elle se rend compte de son impopularité et tente de se racheter, mais il est trop tard et elle finira sur l'échafaud. C'est le personnage central de l'œuvre, la « Rose de Versailles » : l'histoire commence dans son enfance et se termine par sa mort, que ce soit dans le manga comme dans la version animée.

Dans le Manga

Dans le manga, la vie de Marie-Antoinette est beaucoup plus détaillée, on peu découvrir son enfance, sa vie à la cour, Madame Vigée Lebrun sa portraitiste, sa relation avec Fersen, plus détaillée, et la fin de sa vie où on assiste au procès.

Dans la Série

Dans la version animée, la Reine change de tenues fréquement dans la première partie de la série, à la fin elle est toujours vêtue de la même robe, hormis durant les états généraux, lors de la fuite à Varennes et bien sûr pendant son séjour à la conciergerie. Dans le manga elle change toujours beaucoup de toilettes, des robes plus somptueuses les une que les autres, Ikeda à donné libre cour à son imagination avec la Reine !

Dans le film de Jacques Demy

La Reine est une écervelée sans grande consistance. Elle répond au cliché de l'autrichienne frivole loin de l'humanité et de la profondeur qu'a voulu lui donner Ikeda. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Dans le Film de 2024 beaucoup de choses sont juste montrées via les tableaux des chansons. Les tenues de la Reine sont aussi plus réalistes et souvent inspirées de tenues portées par la Reine dans ses portraits. On peut aussi la voir au Hameau de la Reine. On ne voit pas la fin de sa vie. 

Doublage : Sa voix française est celle d'Ammélie Morin (Madame Hudson dans Sherlock Holmes)

 

 

 


Louis XVI

Le Personnage Historique

Louis XVI, né le 23 août 1754 à Versailles sous le nom de Louis-Auguste de France, est roi de France et de Navarre du 10 mai 1774 au 13 septembre 1791, puis roi des Français jusqu’au 21 septembre 1792. Alors appelé civilement Louis Capet, il meurt guillotiné le 21 janvier 1793 à Paris.

 

Héritant d'un royaume au bord de la banqueroute, il lance plusieurs réformes financières, notamment portées par les ministres Turgot, Calonne et Necker, comme le projet d'un impôt direct égalitaire, mais qui échouent toutes face au blocage des parlements, du clergé, de la noblesse et de la cour. Il fait évoluer le droit des personnes (abolition de la torture, du servage, etc.) et remporte une grande victoire militaire face à l'Angleterre, à travers son soutien actif aux indépendantistes américains. Mais l'intervention française en Amérique achève de ruiner le royaume.

Louis XVI est principalement connu pour son rôle dans la Révolution française. Celle-ci commence en 1789 après la convocation des états généraux pour refinancer l'État. Les députés du Tiers, qui revendiquent le soutien du peuple, se proclament « Assemblée nationale » et mettent de facto un terme à la monarchie absolue de droit divin. Dans un premier temps, Louis XVI doit quitter le château de Versailles — il reste le dernier monarque à y avoir habité — pour Paris, et semble accepter de devenir un monarque constitutionnel. Mais avant la promulgation de la Constitution de 1791 qui fait de lui le dernier roi de France de la période dite de l'Ancien Régime, la famille royale quitte la capitale et se voit arrêtée à Varennes. L'échec de cette fuite a un retentissement important dans l'opinion publique, jusque-là peu hostile au souverain, et marque une fracture entre conventionnels.

Devenu roi constitutionnel, Louis XVI nomme et gouverne avec plusieurs ministères, feuillant puis girondin. Il contribue activement au déclenchement d'une guerre entre les monarchies absolues et les révolutionnaires, en avril 1792. La progression des armées étrangères et monarchistes vers Paris provoque, lors de la journée du 10 août 1792, son renversement par les sections républicaines, puis l’abolition de la monarchie le mois suivant. Emprisonné puis jugé coupable d'intelligence avec l'ennemi, celui qui est appelé par les révolutionnaires « Louis Capet » est condamné à mort et guillotiné sur la place de la Révolution à Paris le 21 janvier 1793. 

Dans le Manga

Personnage assez effacé il est cependant décrit comme un homme bon, écrasé par les responsabilité, ne pouvant rien refuser à son épouse. Il est touchant à la fin de l'histoire quand il reçoit une lettre de diffamation sur la Reine qui prétend que Fersen est le père de Louis Charles. 

Dans la Série

Le personnage est fidèle au manga. Le début de la série met beauoup en avant sa passion pour la forge et la confection de serrures. Timide et baleau le personnage prendra plus de consistance et d'autorité dans la deuxième partie de la série en restant néanmoins un personnage secondaire. 

Dans le film de Jacques Demy

Il est ridicule et inconssistant comme tous les autres personnages. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Juste présent au début du film lors des presentations avec Marie-Antoinette, il est juste suggéré par la suite. 

 


Louis XV

Le Personnage Historique

Louis XV, dit « le Bien-Aimé », né le 15 février 1710 à Versailles et mort le 10 mai 1774 dans la même ville, est un roi de France et de Navarre. Membre de la maison de Bourbon, il règne sur le royaume de France du 1er septembre 1715 à sa mort. Il est le seul roi de France à naître et mourir au château de Versailles.
S'il est surnommé le « Bien-Aimé » en début de règne, l'appréciation du peuple évolue par la suite. À la fin de son règne, il reste aimé dans la plupart des régions de France mais est très impopulaire à Paris, à tel point que sa mort donne lieu à des fêtes joyeuses dans la capitale.
Orphelin à l'âge de deux ans, duc d'Anjou puis dauphin de France du 8 mars 1712 au 1er septembre 1715, il succède à son arrière-grand-père Louis XIV à l'âge de cinq ans. Marié à Marie Leszczynska qui lui donnera 10 enfants dont 3 mourront en bas âge. Il aura un règne long et de nombreuses maîtresses. les deux plus célèbres seront Madames de Pompadour et Madame du Barry qui est sa dernière favorite. L'histoire prend placesur la fin de son règne et la période de la Du Barry. 

 

Dans le Manga

Roi puissant et sévère il dirage le pays et organise le mariage de son petit fils la Dauphin. Sa présence est surtout liée à celle de la du Barry et des conflits avec la Dauphine. Sa mort est dépeinte avec beaucoup de réalisme. 

Dans la Série

Le personnage est traité de la même façon que dans le manga. 

Dans le film de Jacques Demy

Inexistant. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Sa présence au début du film est conforme à celle du manga et de la série bien que plus atténuée. 

 

 

 

Les Filles de Louis XV

Les Personnages Historiques

Louis XV et Marie Leszczynska ont eu dix enfants dont huit filles. Elles étaient appelées, jusqu'à leur baptême et selon leur ordre de naissance, Madame Première, Madame Seconde, et ainsi de suite jusqu’à Madame Dernière.Leurs prénoms étaient Élisabeth, Henriette, Marie-Louise, Adélaïde, Victoire, Sophie, Thérèse et Louise. Deux princesses vécurent à Versailles jusqu'à la Révolution Victoire et Adélaïde. Au château , un parcours de visite dans les appartements de Mesdames vous invite à découvrir, à travers une sélection d’œuvres, la vie quotidienne de ces princesses.
 

Dans le Manga et dans la Série

Mesdames sont présentes au début de la série, surtout dans la période rivalité avec Madame du Barry. Elles influencent la jeune fille pour qu'elle tienne tête à la favorite royale qu'elles détestent. On ne les voit plus à partir du moment où la Dauphine à parlé à Madame du Barry

 

Dans le film de Jacques Demy

Inexistantes. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Une apparition, comme la Polignac dans une séquence musicale. 

Madame Du Barry

Le Personnage Historique

Jeanne Bécu, dite aussi Jeanne Bécu de Cantigny ou Jeanne Gomard de Vaubernier[n 1], est née le 19 août 1743 à Vaucouleurs ou en juin 1745[n 2] à Albenga[1], et est morte guillotinée à Paris le 8 décembre 1793. Elle est la dernière favorite du roi Louis XV, entre 1768 et 1774 (et par conséquent la dernière favorite officielle d'un souverain français, les rois et empereurs suivants n'ayant pas désigné de favorite en titre). Née roturière, elle doit à sa grande beauté son ascension sociale et d'être devenue une personnalité importante du demi-monde parisien. Plusieurs hommes de la haute noblesse française sont de ses amants et lui apprennent les manières de la cour. Elle a ainsi comme amant le comte du Barry-Cérès, qui souhaite lui faire rencontrer Louis XV, en faire sa maîtresse et profiter des avantages induits. Pour faire entrer la jeune femme dans la noblesse, le comte du Barry-Cérès – lui-même marié – lui fait épouser son frère, le comte Guillaume du Barry. Pour la présenter à la cour et lui permettre d'y évoluer officiellement, le comte lui trouve une « marraine » de haute noblesse (mais désargentée), la comtesse de Béarn. Devenue comtesse du Barry par mariage, elle est connue sous l'appellation de Madame du Barry ou Jeanne du Barry.
La comtesse du Barry mène une grande vie à la Cour, appréciée pour son esprit et son mécénat, détestée pour ses origines et pour son statut de maîtresse royale. Cela lui vaudra aussi l'animosité affichée de la jeune dauphine de France Marie-Antoinette d'Autriche, influencée par Mesdames, filles du roi, provoquant une crise politique entre la France et l'Autriche. Des tentatives de réconciliation auront lieu entre les deux femmes, qui toutes échoueront.
À son arrivée en France, la dauphine Marie-Antoinette passe beaucoup de temps avec Mesdames, qui communiquent à leur nièce par alliance leur animosité envers Madame du Barry. Louis XV demande à Madame de Noailles, à l'abbé de Vermond (précepteur et confesseur de la dauphine) et au comte de Mercy-Argenteau d'avertir sa petite-fille qu'elle doit être aimable avec la maîtresse du roi. L'impératrice est informée que Marie-Antoinette ne change pas son attitude malgré les remontrances.
Comprenant l'importance de l'alliance, sa fille accepte qu'un soir de grand bal, le 11 septembre 1771, Monsieur de Mercy-Argenteau s'avance et discute avec Madame du Barry. La jeune fille discute avec des dames, vient saluer le comte et en profite pour adresser quelques mots à Madame du Barry. Cela s'étant ébruité, Madame Adélaïde, qui hait le plus la comtesse du Barry, arrête Marie-Antoinette avant qu'elle ait pu rejoindre le comte, lui disant avec autorité : « Il est temps de s'en aller, partons ; nous irons attendre le roi chez ma sœur Victoire. » N'osant désobéir à sa tante, la jeune dauphine quitte la salle avec elle. Madame du Barry de nouveau publiquement humiliée, le roi menace de mettre fin à l'alliance.
Préoccupée par le partage de la Pologne, Marie-Thérèse sacrifie son penchant pour le contrôle des mœurs et rappelle sa fille à l'ordre : Madame du Barry ne doit être vue par elle que comme une dame admise à la Cour, et Marie-Antoinette doit capituler. Pour le Nouvel An, les courtisans présentent leurs vœux de bonne année à la famille royale ; les dames de Versailles présentent leurs vœux pour 1772 à la dauphine, qui leur répond par quelques amabilités d'usage. Madame du Barry est accompagnée de la duchesse d'Aiguillon et de la maréchale de Mirepoix, à qui la dauphine dit d'abord quelques banalités. La dauphine pose ensuite son regard sur Madame du Barry, et lui adresse neuf mots passés à la postérité : « Il y a bien du monde, aujourd'hui, à Versailles. » La cour s'émeut. Le roi est satisfait. Les ambassadeurs envoient leurs rapports à leurs souverains respectifs. L'impératrice est soulagée.

Au lendemain de la mort de Louis XV le 10 mai 1774, le nouveau roi Louis XVI l'oblige à quitter la cour. Après un séjour dans une abbaye, elle mène une vie d'exil au château de Louveciennes, gérant son domaine, sa famille et recevant les grands noms de France et d'Europe. Au moment où éclate la Révolution française de 1789, Madame du Barry se montre enthousiaste des réformes nécessaires à la société française. 
La comtesse du Barry est un peu oubliée. Le cambriolage de Louveciennes dans la nuit du 10 au 11 janvier 1791 attire l'attention sur elle ; ses bijoux volés sont retrouvés en Angleterre et un procès s'ouvre à Londres. Durant la période de la Terreur, ses traversées de la Manche la rendent suspecte auprès du Comité de Salut public, elle est accusée d'avoir secrètement pris le parti de la contre-révolution. Emprisonnée le 22 septembre 1793 à la prison Sainte-Pélagie, elle est victime d'un procès expéditif où elle se défend mal, et où Antoine Fouquier-Tinville l'accable. Madame du Barry est guillotinée le 8 décembre 1793 sur la place de la Révolution.

Dans le Manga comme dans la Série

Le rôle de la Comtesse est le même dans les deux versions qui reprennent un fait historique. Manipulatrice et prétencieuse elle ne suporte pas la jeune fille quelle traite de "petite rousse" dans la série. Dans la version animée elle a une amie qui complote avec elle dans l'affaire de la fausse lettre à Fersen et elle l'assassine. il en me semble pas que ça soit  le cas dans la manga mais je n'en suis plus certaines. 

Dans le film de Jacques Demy

Elle n'existe pas. 

Dans le film de Ai Yoshimura

La Comtesse apparait lors de quelques image dans une séquence musicale qui montre de nombreux évènement, détails et personnages du début de la vie de la Dauphine à Versailles. 

 

 

Le Cardinal de Rohan

Le Personnage Historique

Louis-René-Édouard, prince de Rohan (Paris, 25 septembre 1734 - Ettenheim, 17 février 1803), cardinal-évêque de Strasbourg, est un prélat français, membre de la maison de Rohan, qui fit carrière à la Cour de Versailles et au sein de l'Église.
Il est resté célèbre car, à l'époque où il était grand aumônier de France, il fut impliqué dans le scandale de l'affaire du collier qui provoqua sa disgrâce.
 Nommé chanoine du Chapitre de Strasbourg à l'âge de 9 ans, il eut une carrière météorique au sein de l'Église de France. À 11 ans, en 1745, Louis-René de Rohan-Guémené est nommé prieur commendataire du grand monastère de Sauxillanges en Auvergne, à 22 ans, il est ordonné prêtre après avoir fait son séminaire à Saint-Magloire à Paris, puis, à 25 ans, il est nommé évêque coadjuteur de son oncle, le prince-évêque Louis-Constantin, à Strasbourg. 
Un an après, il est confirmé par le pape Benoît XIV comme évêque coadjuteur de Strasbourg avec le titre d'évêque titulaire (« in partibus ») de Canope (de), du nom de la cité antique de Basse-Égypte.
À l'âge de 27 ans, ce prélat philosophe et poète, ami de Buffon et de D'Alembert, fréquentant le salon de Mme Geoffrin, est élu à l'Académie française le 27 avril 1761, au fauteuil de La Bruyère ; il est reçu par le duc de Nivernais le 11 juin 1761.
En 1771, le roi et son ministre des Affaires étrangères, le duc d'Aiguillon, le nomment ambassadeur à Vienne. Il gagne son poste en 1772. Il scandalisera par son luxe et ses légèretés apparentes, l'impératrice Marie-Thérèse, qui demanda son rappel dès 1774, mais s'entend parfaitement avec le fils de celle-ci, l'empereur Joseph II du Saint-Empire, et avec le chancelier Kaunitz. C'est là qu'il découvre le complot mené par la Russie, la Prusse et l'Autriche qui consiste à dépecer la Pologne en trois morceaux. La lettre secrète, destinée au roi, et dévoilant la duplicité de l'impératrice, est détournée et remise par le duc d'Aiguillon, à la comtesse du Barry à qui il doit sa nomination. Celle-ci la lit en public à un dîner, comme si elle lui était adressée personnellement, et la dauphine Marie-Antoinette est tout de suite informée du commentaire porté par l'ambassadeur sur sa mère. Ce qu'elle lui reprochera ensuite toute sa vie.
Cherchant à rentrer dans les bonnes grâces de la reine après un épisode de froid qui avait commencé lorsqu'il était encore ambassadeur à Vienne et qu'il ait été rappelé sous demande de la mère de Marie-Antoinette, lui causant sa disgrâce auprès de cette dernière. Il est compromis dans l'affaire du collier de la reine, par la comtesse de La Motte-Valois. 
Sur la demande de Marie-Antoinette et par l'entremise du baron de Breteuil, alors ministre de la Maison du roi, il fait arrêter le cardinal en habits liturgiques dans la galerie des Glaces le 15 août, au moment où il allait dire sa messe solennelle, et le fait embastiller du 16 août 1785 au 1er juin 1786, ainsi que tous les complices de cette affaire qui sera confiée au Parlement de Paris : le roi avait en effet laissé au cardinal la liberté du choix, soit il serait jugé par la personne du roi, soit il s'en remettrait au Parlement qui était toujours quelque peu en contradiction avec le pouvoir monarchique. À l'issue du procès Louis de Rohan est acquitté, mais s'étant porté caution, rembourse partiellement le prix fabuleux du collier ainsi que les intérêts.
Le cardinal, quant à lui, est déchu de son poste de grand aumônier de France par Louis XVI et exilé à l'abbaye de La Chaise-Dieu, en Auvergne puis, devant une santé défaillante et vis-à-vis de l'opinion publique, à l'abbaye de Marmoutier-Lez-Tours où il passera trois ans. Il regagnera alors son diocèse en 1788, à l'aube de la Révolution. Quant à Marie-Antoinette, elle perd une nouvelle fois son combat face à Louis de Rohan, son ennemi juré, mais perd surtout sa réputation, le crime de lèse-majesté ayant été jeté aux oubliettes, au point qu'on lui conseillera de ne plus paraître à Paris en public, s'étant faite siffler lors d'une soirée à l'opéra après ce procès.

Élu malgré lui député du clergé pour le district électoral de Haguenau-Wissembourg aux états généraux, il fit partie de l'Assemblée constituante. Il refusa la constitution civile du clergé, ne reconnut donc pas comme successeur l'évêque constitutionnel François-Antoine Brendel, élu évêque du Bas-Rhin, et refusa l'abolition de la monarchie.
Il faudra l'abolition de la noblesse en mars 1790 pour qu'il s'exile à Ettenheim, en pays de Bade, dans la partie allemande de son diocèse d'où il va combattre pour tenter de regagner son diocèse. Il se met du côté de l'émigration en levant des troupes pour l'armée de Condé, son cousin. Par deux fois, il sera contraint de fuir sa principauté allemande, une fois devant les troupes de la République, une autre fois devant celles de Napoléon Bonaparte.

Il se démit de son diocèse après la signature du concordat en 1801. Il mourut à Ettenheim le 17 février 1803.

 

Dans le Manga comme dans la Série

Le cardinal dans les deux version est un personnage niais et un peu ridicule amoureux transi de la Reine. Il apparaît lors des obsèques de la Marquise de Boulainvilliers, Jeanne se sert de lui pour faire valider son testament. Elle se servira de lui par la suite pour l'escroquerie du collier. Il disparaît après le jugement. 

Dans le film de Jacques Demy

Comme le reste un personnage présent mais peu approfondi et ridicule. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Il n'existe pas

 

 

Duc de Guéméné / Germain

Pas de personnage historique de ce nom, il ya bien le père du cardinal de Rohan qui est prince de Guéméné mais aucun rapport avec le personnage fictif. Ici le Duc symbolise la Noblesse arrogante pour qui le petit peuple n'est rien. Le fait qu'il tire sur le petit Pierre pour un vol de bourse est symbolique de la façon dont la Noblesse et le peuple sont les uns par rapport aux autres. Le gens du peuple ne sont que des moins que rien là pour servir et payer des impôts.  

Dans le Manga comme dans Série

Arrogant comploteur il apparaît assez tôt dans la série. Il est l'accolyte de Chartre pour comploter contre le dauphin et la Dauphine et prendre la place de successeur au trône. Il réapparaît lors de l'assassinat du petit garçon pui lors d'un dîner à la cours. Oscar le provoque en duel et choisit le pistolet, le Duc triche en donnant comme lieu de rendez vous un endroit avec une église dont un vitrail cassé éblouit à une certaine heure. Après l'intervention de la Reine il disparaît de la série. 

Dans le film de Jacques Demy

Il existe il y a bien un duel mais comme pour beaucoup d'évènements ça n'a pas beaucoup de sens. 

Dans le film de Ai Yoshimura

L'incident face au petit pierre existe mais pas le duel avec Oscar. Il ne tue pas le garçon dans cette version. 

 

Hans Axel de Fersen

Le Personnage Historique

Axel de Fersen (en suédois : Hans Axel von Fersen), dit « le Jeune », né le 4 septembre 1755 à Stockholm et mort lapidé le 20 juin 1810 dans la même ville, est un comte et militaire suédois, célèbre pour son rôle de favori et d'intrigant auprès de la reine de France Marie-Antoinette.

Dans le Manga

Dans la Série

Issu de la haute noblesse suédoise, Axel de Fersen se rend en France pour ses études au début de l'histoire. Il rencontre par hasard la dauphine Marie-Antoinette au bal masqué de l'Opéra, et c'est le coup de foudre entre eux. Sachant que leur amour est impossible à cause du rang et du mariage de Marie-Antoinette, il cherche d'abord à s'éloigner d'elle en partant à la guerre puis en préparant son mariage avec une autre. Mais il finit par y renoncer et par s'engager à servir sa bien-aimée tout le reste de sa vie. Il tente en vain de la protéger contre les intrigues de la cour, et quand la révolution gronde, il organise la fuite de Varennes qui tournera au drame. Il ne se remettra jamais de la mort de Marie-Antoinette.

Dans le film de Jacques Demy

Dans le film de Ai Yoshimura

 

 

 

Sophia de Fersen

 


Martine-Gabrielle de Gureille / Comtesse Julie Polignac

Le Personnage Historique

Selon Wikipedia : Yolande Martine Gabrielle de Polastron, comtesse puis duchesse de Polignac, est née à Paris (paroisse Saint-Sulpice) le 8 septembre 1749 et est morte à Vienne le 5 décembre 1793, alors en exil. Vivement décriée lors de la Révolution française, elle fut sans aucun doute l’amie la plus fidèle de la reine Marie-Antoinette, aux côtés de la princesse de Lamballe, et fut l’un des personnages les plus emblématiques de la cour de Louis XVI. Yolande Martine Gabrielle de Polastron voit le jour le 8 septembre 1749 à Paris sous le règne de Louis XV, elle naît rue de Grenelle et elle est baptisée le 9 septembre 1749 en l'église Saint-Sulpice de Paris, sa paroisse. Elle est la fille de Jean François Gabriel, comte de Polastron, seigneur de Noueilles, Venerque et Grépiac et de Jeanne Charlotte Hérault de Vaucresson. De ses trois prénoms, l'usage ne retient que celui de Gabrielle. Mademoiselle de Polastron est fiancée à 16 ans au comte Jules de Polignac, capitaine du régiment de Royal-Dragons, fils d'Héracle-Louis, vicomte de Polignac, et de Diane de Mazarini Mancini. Elle l'épouse le 7 juillet 1767, peu avant ses 18 ans. Les deux familles sont de même rang, toutes deux de vieille noblesse mais sans grande fortune. La solde annuelle de Jules de Polignac au moment de son mariage s'élève à 4 000 livres[4]. Elle est par ailleurs la cousine germaine du conventionnel Marie-Jean Hérault de Séchelles.
En 1775, elle est conviée, avec son mari, par sa belle-sœur à un bal au château de Versailles. Dans la galerie des Glaces, la reine Marie-Antoinette la remarque et questionne son entourage sur l'identité de cette inconnue. Elle va à la rencontre de celle qu'on appelle « comtesse Jules » (en référence au prénom de son mari) et lui demande pourquoi elle ne paraît pas plus souvent à la cour. Cette dernière lui avoue simplement qu'elle ne pourrait y soutenir son rang. La reine est impressionnée par sa franchise et instantanément conquise par sa grâce. 
La jeune reine (19 ans), qui souffre de ses déboires conjugaux et d'une grande solitude à la cour, conçoit pour la comtesse de six ans son aînée une vive amitié. Gabrielle de Polignac supplante la fidèle princesse de Lamballe ; elle devient la favorite de la jeune reine, qui est charmée par son naturel enjoué et par son esprit. Déterminée à garder sa nouvelle favorite à ses côtés, la reine fait combler par le Trésor royal les dettes du couple Polignac qui s'élèvent à 400 000 livres, et donne la charge de grand écuyer au comte de Polignac. La famille de Polignac, comblée des faveurs royales, touche des revenus générés par les titres et les pensions dont elle est gratifiée et dont le total coûte à l'État un demi-million de livres par an. En 1785, le nouveau duc est nommé directeur-général des postes. En 1782, Madame de Guéméné, femme du prince de Rohan-Guéméné et gouvernante des enfants royaux, est contrainte à la démission après la banqueroute de son époux. La reine la remplace aussitôt par la duchesse, ce qui choque une partie de la cour. S'il faut en croire la marquise de Bombelles, elle ne remplit sa charge de gouvernante qu'au strict minimum, avec beaucoup d'agrément et peu d'assujettissement. D'autres observateurs signalent au contraire qu'elle se donne entièrement à sa charge, oubliant son indolence naturelle. Mesdames de Guéménée, de Brionne, de Marsan, d'Oberkirch assurent que Marie-Antoinette n'aurait pu faire meilleur choix pour assumer cette responsabilité. Gabrielle exempte les enfants de France d'assister quotidiennement à la messe. Il arrivera aussi qu'elle fasse venir un médecin auprès du dauphin Louis-Joseph à l'insu de sa mère pour ne pas inquiéter celle-ci. L'ayant découvert, la reine lui en tient rigueur ; Gabrielle veut alors remettre sa démission au roi mais Marie-Antoinette la supplie à genoux d'y renoncer. Ces faveurs, dans le prolongement de l'affaiblissement du pouvoir royal sous Louis XVI, alimentent l'impopularité de Marie-Antoinette, non seulement auprès de ses sujets, mais aussi auprès d'une part de la noblesse.
Deux jours après la prise de la Bastille, à la demande des souverains, les époux Polignac, leurs enfants et la comtesse Diane quittent Versailles, avec une bourse de 500 louis octroyée par la reine. Comme il y a peu de place dans la berline, et pour ne pas attirer l'attention, on ne prend pas de bagages et chaque voyageur n'a que quelques chemises et mouchoirs.  Elle meure de Chagrin peu de temps après la mort de la Reine à l'âge de 44 ans. 

Dans le Manga

Le personnage de fiction est assez proche de la réalité historique pour le coup. Dans le Manga leur rencontre, leurs rapports et les sommes dépensées pour elle sont bien retranscrites. Elle s'occupe des enfants royaux également. Par contre sa fille réeele se nomme Aglaé de Polignac et est morte bien après la Révolution. 

Dans la Série

Il y a peu de différence entre le personnage du manga et de la série, La série appuie tout de même assez sur une certaine humanité de la Comtesse lorsquelle découvre qui est la femme qu'elle à tué et qui est Rosalie. 

Dans le film de Jacques Demy

La Comtesse est toujours avec la Reine et est tout aussi frivole. On le lui connaît pas de côté positif ou humain le traitement reste superficiel. 

Dans le film de Ai Yoshimura

Le personnage est juste évoqué dansdes images lors d'une chanson sur la vie de la Reine, sinon elle n'existe pas. 

Fun fact : son quatrième enfant,
 Melchior de Polignac, comte de Polignac (27 décembre 1781, Versailles – 2 février 1855, Fontainebleau), marié en 1810 avec Alphonsine Le Vassor de la Touche (1791-1861). Le sixième enfant du couple est Charles Marie Thomas Étienne Georges, comte de Polignac (1824-1881), dont le petit-fils Pierre de Polignac est le père du prince Rainier III de Monaco et le grand-père du prince Albert II de Monaco. Le titre de comtesse de Polignac est actuellement porté par Stéphanie de Monaco

 

 

Charlotte de Polignac

Historiquement, la seule fille de la Comtesse est donc en réalité Aglaé de Polignac (7 mai 1768, Paris – 30 mars 1803, Édimbourg), mariée le 11 juillet 1780 avec Antoine VIII de Gramont, alors duc de Guiche, plus tard 8ème duc de Gramont. Elle est surnommée "Guichette" par sa famille.
La fiction nous présente donc Charlotte comme la fille unique de Madame de Polignac, nul mention de flatterie. La jeune fille à 11 ans au moment des faits. On la voit pour la première fois après que sa mère ai reussi à amadouer la Reine pour lui soutirer une position favorable  à la cour. Ensuite charlotte es présente lors de l'entrée dans le londe de Rosalie au bal de Madame Elisabeth. jalouse d'être eclipsée par Rosalie elle la provoque et la met mal à l'aise. 
Dans le manga comme dans la série Charlotte est une jeune fille gâtée par sa mère, au départ jalouse de Rosalie et de l'intérêt qu'Oscar lui porte elle évolue dans le manga jusqu'à se confier à elle comme à une grande soeur au sujet de son mariage et de ses sentiments pour Oscar. Aucune interaction de la sorte dans la série. Néanmoins Charlotte de prétentieuse devient plus humaine et mélancolique après l'annonce de son mariage avec le vieux Duc de Guise. Sa rencontre avec le Duc un soir de bal et un baise main de celui-ci qui la répugne au plus au point est le déclencheur de sa folie qui la conduira au suicide. Dans le manga cette scène n'existe pas mais Charlotte se suicide quand même en se jettant du haut du grand escalier des jardins du palais. Oscar tente de la retenir mais son bras blessé la trahis et elle ne peut sauver la jeune fille. Dans la sétie Charlotte monte sur le toit du Château (comment on ne sait pas) et se jette dans le vide avec une rose blanche. 
CHarlotte est le symbole de la pureté sacrifiée et des mariages arrangés entre des filles très (trop jeunes) et des hommes plus fortunés, titrés bien plus âgés qu'elles. 

 

Comte Victor Clément Florian de Girodelle

Dans le Manga

Dans la Série

Dans le film de Jacques Demy

Dans le film de Ai Yoshimura

 

 

 


Le Comte de Mercy

Le Personnage Historique

Dans le Manga

Dans la Série

Dans le film de Jacques Demy

Dans le film de Ai Yoshimura

 

 

 

 

Rose Bertin

Le Personnage Historique

Dans le Manga

Dans la Série

Dans le film de Jacques Demy

Dans le film de Ai Yoshimura

 

 

Elisabeth Vigée lebrun

Le Personnage Historique

Dans le Manga

Dans la Série

Dans le film de Jacques Demy

Dans le film de Ai Yoshimura

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